Ce qu’il y a de plus impressionnant en arrivant par avion en Islande, en hiver, c’est le blanc.
Ce blanc immaculé, cet immense espace vierge, lunaire, recouvert d’un lourd manteau neigeux.
Ici et là : quelques tâches noires, comme de la poudre de cacao saupoudrée sur du sucre glace. Ce sont des roches volcaniques qui s’échappent du manteau ; une terre aride qui ne s’est pas laissée envahir par l’homme. (suite…)