Six kilomètres de long et trois de large; il n’en faut pas plus à l’île de Capri pour révéler ses merveilles. Connue du monde entier, immortalisée par Godard, qui y a tourné le film Le Mépris, l’île reste aujourd’hui authentique.
Il faut parcourir ses petits chemins pour s’en rendre compte, longer ses maisons immaculées et croiser ses habitants de longue date, avec leurs chariots à roulettes, les voir s’arrêter et se saluer à chaque coin de rue.
Sur l’île, la balade mène toujours quelque part: sur la marina piccola, vers la Grotta Azzura ou la piazzetta, en haut du téléphérique, bordée de bars et restaurants.
Capri est composée de deux communes: Capri, plus touristique et Anacapri, plus artisanale, où ont trouvé refuge les derniers potiers et céramistes de l’île.
Chaque venelle est une balade. Ici: des jardins d’orangers derrière une porte en fer forgé, là, des vignes en terrasse ou un point de vue magnifique sur la baie, comme au belvédère di Tragara. L’accès en voiture y est impossible et rend le paysage encore plus inouï.
Ce n’est qu’à Anacapri que les véhicule reprennent leurs droits, se frôlant dans les virages, et transportant les touristes dans des cars jaunes ou des taxi blancs décapotables.
Ci-dessus: Différentes vues de l’île, l’entrée de la Grotta Azzura, les boutiques d’Anacapri, les ruelles de Capri. Les taxi et bus de l’île.
J’adore vos photos!
Merci infiniment Sofia. A bientôt sûr leblogdupigeonvoyageur
C’est Sonia et oui sans faute!
Faites un tour sur le mien, thecuriousescape.com
Bon vendredi!
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